Au verso d’une carte gravée à son chiffre et portant la maxime Unguibus et Morsu (Griffures et morsures).
«Mon cher ami, Merci pour votre approbation de mon attitude. Marseille est pour moitié en la diatribe : Barroil. Pradelle for ever. C’est avec des amitiés comme la vôtre pour réconfort que je vais impassiblement au but idéal commun. Votre reconnaissant Peladan. »