Gustave FLAUBERT se démène pour son ami Louis BOUILHET.

” Avez-vous pensé à la réclame de Bouilhet (Hélène Peyron) pour l’entracte ? ” 

Vendu

Gustave FLAUBERT (1821.1880)

Billet autographe signé à Michel Lévy.

Une page in-12° sur papier bleu.

Slnd [janvier 1858]

Lettre inédite à la correspondance de la Pléiade.

 

Flaubert se démène pour faire publicité du drame de son ami Louis Bouilhet, Hélène Peyron.

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« Avez-vous pensé à la réclame de Bouilhet (Hélène Peyron) pour l’entracte [revue-programme de théâtre] ?

Dennery a positivement refusé. Mille poignées de main. Gve Flaubert. »

 

  

Flaubert avait décidé, devant le découragement de Louis Bouilhet, de défendre et promouvoir la pièce dramatique de son ami, Hélène Peyron, qui sera jouée à l’Odéon le 11 novembre 1858.

Ce billet fait suite à sa demande initiale auprès de Lévy, du 24 décembre 1857 :

« Mon cher Michel, Pouvez-vous (et quand même vous ne le pourriez pas, faites-le !) insérer dans L’entractel’entrefilet suivant : « La nouvelle pièce de Mr Louis Bouilhet, Hélène Peyron, comédie en cinq actes et en vers, a été lue samedi dernier à l’Odéon. Elle va être mise à l’étude immédiatement. » Cela est important parce que plusieurs petits journaux ont annoncé qu’elle ne serait pas jouée cette année. Aucune nouvelle de Dennery jusqu’à présent. »

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