En vacances en Italie, Antoine BOURDELLE pense à ses oeuvres.

« J’ai à revoir les affreuses patines de la victoire et de la force. »

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Antoine BOURDELLE (1861.1929)

Carte autographe signée à l’architecte Alfred Rome.

Une page in-12° oblongue au verso d’une vue de Bologne.

Voghera. 6 octobre 1922.

 

« J’ai à revoir les affreuses patines de la victoire et de la force. »

En vacances en Italie, le sculpteur ne peut s’exonérer de penser à ses travaux à venir.

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« Cher amis Rome. J’ai écrit aux A. Farcy. Nous sommes passés par Grenoble. Nous ne pouvons cette fois y repasser. Mais j’aime mieux y venir avec ma femme et ma fillette Rodhania – ou plus simplement Rose. J’ai à revoir les affreuses patines de la victoire et de la force. Merci d’avoir prêté votre bronze au musée. Dites chez vous mes meilleurs et mes plus attachés souvenirs. Expliquez tout à A. Farcy, à Flandrin et à très bientôt mieux qu’avec une carte trépidante. Ant. Bourdelle. »

 

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